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samedi, 28 juin 2008
Droits des animaux ?
Devant la fnac de Strasbourg, ce samedi, se tenait un petit groupe discutant des droits des animaux...
A ma grande surprise j'ai appris qu'il y avait une "mode" escusez moi du terme, qui s'appele le Vegan, terme anglais désignant les gens qui n'utilisent aucun produit qui à pu etre réalisé grace à des animaux, tels les vétements etc...
Nous avons abordé le sujet des pressions des Lobby agricoles etc...Et nous avons fait le parallèle avec le commerce équitable qui est un peu dans la même optique fait s'interroger les gens...
Véritables défenseurs des animaux nous avons pu discuter avec ces membres notamment Michel ou ou encore Caroline à propos du pourquoi être végétarien/lien,ou Vegan... Nous nous sommes interrogés sur les animaux sont ils conscients, c'est vrai un veau a-t-il conscience q'il regarde un train construit par l'homme ? un poulet pense-t-il a son futur ?
Les animaux sont il est vrai aujourd'hui utilisé tel des machines à nous nourrir, à nous vétir, mais pour autant devrions nous y renoncer ?
L'abbatage, le gavage, la consommation de ces animaux nuit elle à l'homme, provoque t'elle des maladies, des problèmes mentaux ?
Avec à chaque fois des exemples bien choisies cette équipe nous à fait beaucoup réfléchir, mais je ne suis pas pour autant convaincu que j'arriverai à remplacer la viande par autre chose...
Même si des substituts existent j'ai été élévé comme ça, je consomme de la viande au moins une fois par jour et je ne crois pas être le seul...
Un jour peut être nous nous rendrons compte que nous nous sommes trompés...
En tout cas, nous avons parlé de beaucoup de choses avec cette petite organisation et je vous invite à réagir sur ce sujet polémique...
Pour plus d'informations veuillez consulter le site www.droitsdesanimaux.net (notamment le forum)
www.lesanimauxontdesdroits.com
vous pouvez égalemment pour les bouquinistes, lire le livre de Charles Patterson Un éternel Treblinka.
Pour les cinéphiles, Sylvain en tête, voir le film Earthlings (durée une heure trente)
Alors végétarien,Végétalien,Vegan,Nécrophage (manger des cadavres d'animaux) ? que choisiriez vous ?
22:26 Publié dans Littérature | Tags : droits des animaux, cruauté ? normalité, nourriture, cosmetique, vetements vegan, vegetalien, vegetarien | Lien permanent | Commentaires (13)
Commentaires
Yo !
Le droit des animaux est un sujet très important politiquement autant que philosophiquement.
Politiquement, il est urgent de reconnaître un statut particulier au animaux car du point de vue juridique, ils sont considérés comme des objets. Sans les faire accéder au statut d'invididu propre aux hommes, leur considération doit néanmoins se baser sur des considérations humanistes moderne qui considèrent comme intolérable la souffrance animale.
En France, le meilleur exemple de cette perversion est la corrida suivie de la chasse. Ces deux "passions" ne sont que des cruautés humaines afin de satisfaire le plaisir éphémère de pauvres cons. La corrida, que certains aficionados tentent de faire passer pour une culture comme une autre et une pratique "respectable" (pincez-moi !), n'est, ni plus ni moins, qu'une ignoble barbarie. Vétu de son "habit de le lumière" le torrero opère un véritable massacre en règles sous les yeux d'abrutis avide de sang, la bave aux lèvres.
Quand au massacre des animaux pour des raisons commerciales et lucratives (au détriment de la survie de la bio-diversité et de la conscience civilisée), je ne vous fait pas un dessin...
Philosophiquement je laisse la parole à Elisabeth de Fontenay (rien à voir avec l'autre grande conne des miss France), philosophe et auteur de Le silence des bêtes.
La frontière entre l'homme et l'animal s'efface et le débat entre "dualistes" (ceux qui opposent radicalement l'humain et l'animal) et "continuistes" (ceux qui se représentent une gradation de la sensibilité, de la mémoire, de la conscience, affirmant que la nature ne fait pas de saut) n'a plus lieu d'être. La difficulté d'aujourd'hui est de réhabiliter l'animalité sans tomber dans la bêtise.
"Comme si l'homme avait été la grande pensée de derrière la tête de l'évolution animale. Il n'est absolument pas le couronnement de la création : chaque être se trouve à côté de lui au même degré de perfection" écrivait Friedrich Nietzsche.
"Tous les philosophes, depuis le commencement grec, ont parlé de l'animalité, tantôt sans la thématiser explicitement, tantôt en lui donnant une fonction capitale. Il y a les dualistes comme Descartes, Kant ou Heidegger. Et les continuistes comme Aristote, Leibniz, Husserl. Il faut maintenir fermement deux interrogations hétérogènes : celle de l'origine de l'homme (scientifique) et celle de la signification de l'humain (philosophique et politique).
Les tentatives de réduction -matérialistes et réactionnaires - de l'historique à l'ethologique ou du social au "naturel" ne sauraient être ébranlées par de beaux discours sur le libre arbitre et la volonté. Seule une argumentation philosophique et politique, attentive à ce qu'est un événement, au caractère tragique des conflits de droit entre les êtres humains permet de ne pas sombrer dans la confusion et l'indistinction. L'homme est décrit et expliqué par les scientifiques en tant qu'espèce mais, dans leurs pratiques éthiques et politiques, les hommes se proclament, se déclarent, comme genre humain.
On ne peut plus faire taire l'exigence pressante d'un droit des animaux. Faudrait-il pour autant accueillir la réclamation exorbitante, donc injuste, d'une extension des droits de l'homme aux chimpanzés, aux gorilles ? Non car la continuité oblige en même temps à reconnaître qu'il y a des sauts qualitatifs, ce qu'on nomme l'émergence.
On sait depuis longtemps qu'il n'y a pas d'essence de l'homme. Il apparaît clairement que les animaux ont eux aussi des comportements symboliques et des capacités de catégorisation, qu'ils se transmettent des savoir-faire.
Nous ne pouvons pas plus croire Montaigne disant qu'il y a parfois plus de différence d'homme à homme qu'entre un animal et un homme que Descartes faisant du langage le critère absolu de l'humain. Il faut être une brute pour refuser aux bêtes la souffrance, le langage, l'intériorité, la subjectivité, le regard. Mais ne risque-t-on pas de sombrer dans la bêtise si l'on s'obstine à nier que les hommes ressentent, communiquent, exprimer, produisent autrement et mieux que les plus humains des animaux ?"
"La similitude entre l'homme et l'animal bouscule les préjugés et les savoirs. Les seules caractéristiques humaine à conserver, seraient la responsabilité envers le monde vivant, le souci de l'avenir et la rémémoration du passé.
L'homme et le chimpanzé ont près de 99 % de gènes communs. Ce chiffre incroyable atteste que la blessure narcissique infligée par Charles Darwin à l'homme ne peut plus désormais être surmontée par de pieuses paroles sur la supériorité anthropologique. Comment ne pas contaster d'abord que toute intervention techno-scientifique sur le vivant animal a des répercussions sur le vivant humain. Ce que nous pratiquons ou laissons pratiquer, c'est sur nous autres qu'à terme nous le pratiquerons.
Edmund Husserl puis Maurice Merleau-Ponty ont pensé l'animal non comme un pur être de la nature se rapportant seulement à un environnement, mais comme une individualité, une subjectivité, une intériorité en rapport avec un monde, susceptibles d'affects et de désirs."
Il n'y a donc pas une différence de nature entre l'homme et l'animal mais une différence de degré.
Écrit par : Sylvain | dimanche, 29 juin 2008
Oui absolumment d'accord Sylvain, mais pour autant serais tu pret a devenir végétarien, végétalien ou vegan ?
Écrit par : Didier | dimanche, 29 juin 2008
Ah oui, j'avais zappé cette question...
Je n'aime pas excessivement la viande mais je reste un omnivore qui ne deviendra pas végétarien et encore moins végétalien (là, ça peut devenir dangereux pour la santé).
En revanche je suis certainement vegan depuis un bout de temps sans savoir que ce terme existait. D'ailleurs ça fait un peu new-age, voire hippie, et on a pas vraiment besoin de ça... Néanmoins, il est très difficile de savoir quels produits ont été réalisés avec des animaux. L'information est cloisonnée et il faut rendre grâce aux associations et militants de nous informer sur ce sujet. Bien entendu on sait qu'il ne faut pas achêter de la fourrure à moins d'être un connard de richard sadique.
De fait, on rejoint le droit des consommateurs à être pleinement informés des produits mis sur le marché. Et ce n'est pas l'autorégulation du marché qui s'en charge (clin d'oeil aux économistes : la concurrence pure et parfaite est un mythe juste bon à nous faire avaler des couleuvre libérale économiquement), mais des excellentes revues telles que "Que choisir" et l'association "60 millions de consommateurs".
Sinon, il y a un terme pour désigner ceux qui refusent d'achêter des produits réalisés par des enfants enchaînés, sous le joug d'une dictature, payés au lance-pierre,dans des conditions immondes ou une certaine conscience éthique suffit ?
Écrit par : Sylvain | lundi, 30 juin 2008
je vous suis les garçons, même opinion.
je trouve juste que vous tranchez sec. de nos jours, il est difficile de voir tout noir ou tout blanc...
d'abord concernant la corrida par exemple (bien que je ne sois pas pour!) voyez un peu l'opinion d'un torero, souvent c'est un METIER (=ca les fait vivre du moins en espagne) qui se transmet de pere en fils ou fille. donc imaginez si la corrida devenait "illegale" ou meme juste immorale comment ces gens le vivraient-ils? pour eux c'est une facon de vivre, leur histoire est inscrite dans ce cadre de vie et pour eux la corrida est un "sport" noble...
autre nuance, sans meme se categoriser en tant que vegetalien, vegetarien ou vegan, je pense qu'on peut commencer par faire attention a ce qu'on mange. souvent le porte monnaie en souffre un peu mais perso je prefere manger un peu moins de viande et en manger de bonne qualité(fermier le plus souvent) que de la daube qui sort des "usines" qui gavent et maltraitent les animaux!
l'homme a tjs été chasseur, je pense que pr une bonne alimentation la viande est indispensable
ceci dit peut etre pas tous les jours et si on etait chasseur a un temps ca sous entend qu'il fallait chercher le gibier qui vivait a l'etat naturel donc ttes autres circonstances que la viande qu'on ingere de nos jours
bref je n'ai rien ajouté de plus, je voulais juste mettre le point sur le fait qu'on ne puisse pas etre tout ceci ou tout cela... ca ne marche jamais comme ca...
au plaisir!
Écrit par : marjo | dimanche, 06 juillet 2008
Bien évidemment qu'il fait être nuancé. Pour ma part, je déteste les extrémistes politiques ou religieux qui se bornent à voir le monde de façon manichéenne. La vie n'est faite que de teintes de gris...
Néanmoins....en ce qui concerne la corrida, je suis radicalement contre et j'ai déja expliqué pourquoi.
L'argument économique n'est pas valable car l'on s'écarte de la question de fond : est-ce civilisé de torturer un animal (préalablement maltraiter ignoblement) jusqu'à la mort sous les yeux d'hommes de femmes et d'enfants ? Et ce pour le simple plaisir de brutes dénués d'empathie envers des êtres vivants doués de conscience et ressentant, comme nous, la souffrance ? Je ne pense pas....et je suis poli.
Par ailleurs, en suivant complétement ce raisonnement économique et sans considérer les torreros comme des nazis, on peut très bien conclure que conduire un train durant la seconde guerre mondiale était un travail comme un autre, permettant à une famille de vivre, etc....à ceçi près que le train contenait des juifs pour les camps d'extermination. Mais ça, comme dirait notre gros porc national, ce n'est qu'un "détail" de l'histoire....
Écrit par : Sylvain | lundi, 07 juillet 2008
Bonjour!
Didier, je suis la "Caroline de Droits des Animaux" que tu as rencontré à Strasbourg.
Merci de nous avoir consacré une petite page, et désolée de ne la découvrir qu'aujourd'hui.
Bien évidemment, je ne peux qu'être en désaccord face à certains points de vue exprimés ci-dessus. Mais le problème n'est pas de débattre pour le plaisir.
Le drame véritable des animaux que l'homme tue chaque année (environ 60 milliards, rien que pour les mammifères), c'est que personne ne les voit.
Bien-sûr, le spectacle sanguinolant qu'offre une corrida choque et révolte bien des gens. Deux heures de cruauté...
Pourtant, la vie d'une vache laitière -toute sa vie- est tout aussi atroce, sans parler de la route de l'abattage...),
mais personne ne le sait.
Si vous avez 15 mn "de temps de cerveau disponible" ;-) à consacrer aux animaux, je vous conseille ces deux vidéos, qui ne peuvent hélas être totalement dépourvues d'images choquantes :
-quelques questions sur la vie d'un animal :
http://www.youtube.com/watch?v=pZjGJ8hLEjQ
-pourquoi être vegan (c'est à dire, entre autre, être végétalien, ce qui n'a rien de stupide ou dangereux) :
http://www.eyeka.com/video/view/268484-Veni-Vidi-Vegani-version-FRANCAISE-
Si vous avez encore 5mn, installez vous devant TF1 vers 20h45, armé d'un papier et d'un crayon.
dans une première colonne, inscrivez un petit bâton pour chaque pub diffusée.
dans la seconde colonne, inscrivez un petit bâton pour chaque pub qui vante un produit issu de l'exploitation barbare d'animaux (viande, charcuterie, poisson, oeufs, fromages et tous les laitages, produits pour le corps, pour les cheveux, maquillage, entretien de la maison, de la voiture, compagnies aériennes, pharmacie, innovation technologique, cahiers, stylos et confiseries pour les enfants, sirops, jus de fruits, ...)
Puis faites le total. Peut-être alors commencerez vous à entrevoir toute l'étendue du massacre quotidien que nous infligeons aux animaux par nos choix de consommateurs.
Merci, à bientôt!
Écrit par : Caroline | jeudi, 31 juillet 2008
Alexis, crois-tu sincèrement que l'homme puisse assumer la dualité d'élever un animal dans le but de le tuer, de lui prendre son sperme, ou le lait destiné à son petit, sans le maltraiter?
D'ailleurs, dire que "tuer est une maltraitance" est un piètre euphémisme...
Mais ton point de vue Alexis, aussi désinformé qu'il puisse être, a le mérite de bien résumer la pensée populaire :
On pourrait revenir sur les questions d'agriculture, de nutrition, d'ordre naturel et de "super prédateur" (quelle expression, tout de même...), d'absence de conscience, que tu as soulevées.
Mais plutôt que de se renvoyer l'éternelle balle omnivores/végéta*ien, je ne peux que t'inviter à découvrir les derniers positionnements de l'association des diététiciens d'Amérique du Nord, de l'OMS, de la FAO, ou encore de Greenpeace :
car épargner les animaux, c'est aussi prendre soin de sa santé, lutter contre la faim et la sous nutrition, et la pollution des nappes et de l'atmosphère.
Rien que ça.
Écrit par : Caroline | jeudi, 31 juillet 2008
Salut Caroline,
Heureux de voir que tu es venu sur notre site !
Si tu es intéressé par un article sur ce mode de vie, qui reprendrait les conclusions que tu m'avais faites à Strasbourg il n'y a aucun problème, j'ai peur que tout le monde ne lise pas les commentaires !
On donne la parole à Chacun, je ne te trouve pas extremmiste, puisque tes idées sur le style vegan sont les mêmes que j'utilise pour défendre le commerce équitable !
Malheureusement pour ma part je n'ai pas franchi le pas de ne plus manger de viande je suis addict !
En tout bien tout honneur, défends ta cause et renseigne nous si cela t'interesse !
Didier
Écrit par : Didier | vendredi, 01 août 2008
Avec grand plaisir, c'est gentil de m'en donner l'opportunité.
Je vais essayer de retrouver quelques sources intéressantes, et pas forcément pro-animaux (comme celles que je cite plus haut), histoire de vous rédiger quelque chose d'un minimum convenable.
Et dans un laps de temps raisonnable, si possible.
Merci à vous, à bientôt,
Caroline
Écrit par : Caroline | mardi, 05 août 2008
Bonjour,
J'aimerais ajouter mon coup de grife pour soulever un autre problème qui me parait nécessaire de mettre en avant en ce qui concerne la souffrance des animaux
Prenons l'exemple très récent de la vidéo de l'abattoir Charal. Image gore et trash, il n'y pas d'autres termes, on voit que le boeuf en question souffre.
Le fait est que il s'agit ici d'un abbatage rituel comme le pratique notamment les mieux juifs pour produire de la viande casher.
Cela dit, il existe des solutions pour que la bête soit déjà morte avant le dépecage, ce sont des assomeuses qui electrocutent l'animal sans le faire souffrir.
L'utilisation de cette solution sans souffrance pour l animal n'apparait pas comme obligatoire dans la loi nationale et l'Etat n'ose pas légifirer en faveur de cette solution.
La raison est la suivante, si un telle loi venait à passer, la communauté juive ne manquerait pas de qualifier le legislateur d'antisémite. Cela par non respect des ses traditions.
Il se pose là donc un problème identitaire et culturel, qui peut empêcher au milieu juif de France de manger de la viande Casher?
Écrit par : Olivier | mardi, 08 septembre 2009
Olivier bien sur ! lol !
je ne savais pas pour l'abattage des bêtes pour qu'elles soient casher... en est il de même pour le halal ?
je pense qu'effectivement il y aurait des gens qui diraient que cette loi et antisèmite (pour les plus cons) mais je pense qu'il faudrait légiférer également...tant que l'homme se comportera comme ça avec les animaux on ne grandira pas.
Je ne sais plus qui a dit ça mais je suis d'accord :
"on voit l'évolution d'une société de la manière dont elle traite ses animaux..."
nous sommes bien évolués dit donc ! ceci dit j'adore la viande, mais j'en mangerai sans doute moins s'il le fallait. et j'accepterai de payer plus cher si elle était produite dans les règles de l'art. (si j'ose dire)
Écrit par : Didier | mardi, 08 septembre 2009
Le problème se pose également concernant la viande Halal.
L'Etat à sans doute peur de se mettre à dos les religieux tant muslmans que juifs, alors que la question de la souffrance animale dépasse les préceptes religieux archaïques (pléonasme ?).
Il est grand temps de devenir une nation mature en légiférant contre toute forme de mauvais traitement envers les animaux et ce, même si cela doit entrer en contradiction avec les traditions de certaines religions.
D'autant plus que nombre de religieux sont préoccupés par la souffrance animale...
Écrit par : Sylvain | jeudi, 10 septembre 2009
Les vegans sont des "végétaliens extrêmes" qui ne veulent utiliser aucun produit qui provient d'un animal, même si l'animal n'a pas été tué. Cela concerne même la laine de mouton ou le miel. Sans aller aussi loin, on peut au moins refuser de tester des produits du quotidien sur les animaux comme les cosmétiques ou les produits d'entretien. Il existe maintenant des méthodes alternatives. Le problème se pose aussi pour les animaux destiné à l'abattoir bien sur mais si déjà ont cesse de faire souffrir les animaux pour notre simple confort (maquillage, dentifrice...) ce sera une belle avancée. Après on pourra discuter de la façon dont on se nourrit.
Écrit par : Emilie | dimanche, 11 août 2013
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