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lundi, 10 novembre 2008
l’eau, une ressource vitale de plus en plus rare
Depuis 1999, l’accès à l’eau est reconnu comme droit fondamental pour chaque personne, par les Nations Unies. Malgré cette reconnaissance internationale, il subsiste encore 1,1 milliard de personne qui n’a toujours pas accès à cette ressource. Ce chiffre est la preuve flagrante des inégalités existantes entre les habitants de la planète face à l’accès à l’eau, et il démontre la nécessité de réfléchir aux enjeux soulevés par cet accès.
Les inégalités face à l’accès à l’eau, sont nombreuses et souvent naturelles. Si l’eau recouvre 70% de la planète, elle se trouve en quantités différentes selon les points du globe. Les continents américains sont plutôt bien dotés en réserves d’eau, comme le continent Européen avec la Chine et la Russie. Les Pays du Caucase sont relativement pauvres en eau au même titre que l’Afrique Subsaharienne et l’Australie. Les pays les plus pauvres en eau sont ceux d’Afrique du Nord et le Moyen-Orient où l’eau se fait très rare. Une fois la situation visualisée, nous sommes plus en mesure de comprendre les inégalités qui en découlent. Aujourd’hui, les personnes dont les besoins en eau ne peuvent pas être couvert se trouvent majoritairement dans les pays dits « en voie de développement ». En effet, les pays industrialisés ont développés par le passé leurs accès en eaux pour leurs populations. Ainsi les pays européen, Royaume-Uni en tête, ont mis en place des moyens de distribution et de récupération des eaux dès le milieu du XIXème siècle, ce qui a permis d’endiguer certains problèmes sanitaires tel que le choléra et, en permettant par la suite un accès à de l’eau véritablement potable, la dysenterie. De ce fait on peut voir que l’un des enjeux majeurs de l’accès à l’eau se trouve être les raisons sanitaires. Les conditions de vie dans les bidonvilles dans des pays comme Hawaï ont été améliorées, lorsque les habitants ont put accéder à de l’eau peu chère issue des bornes-fontaines proches de chez eux mis en place par la Camep, la régie publique.
L’eau peut également être un facteur de paix ou de conflit. Les pays doivent parfois partager les ressources en eaux à plusieurs. Pour le moment, aucun conflit armé n’a eu pour cause l’eau, cependant certains pensent que cela pourrait le devenir. L’eau douce et propre n’est pas une ressource naturelle inépuisable. S’il y a toujours la même quantité d’eau sur la Terre depuis le début, elle y est sous forme différentes : l’eau douce qui a été extraite des sous-sols n’a pas forcément été renouvelée et cette source peut se tarir. Ainsi avec toujours plus d’habitants sur Terre, avec des estimations de 8 milliards de personnes en 2025, et moins d’eau comme ressource naturelle, des conflits risquent d’émerger. Pour les pays, il faut donc posséder un accès direct à l’eau comme ressource naturelle sans quoi, ils deviennent tributaires d’autres pays. Ce besoin en eau représente un enjeu économique pour les différentes entreprises présentes sur ce secteur. Des entreprises nationales comme suez ou veolia présentent en France avec pour but de permettre l’accès à l’eau et de gérer les installations hydrauliques, se sont internationalisées pour créer des réseaux d’eaux partout dans le monde. Ainsi les investisseurs privés sont recommandés par le Conseil de l’eau pour mettre en place les réseaux de distribution d’eau. L’eau est devenue une marchandise prisée et les entrepreneurs misent même sur la production d’eau, avec les usines de désalinisation de l’eau de mer. En effet, bien que cela demande un fort coût en énergie, il existe de plus en plus d’usines de salinisation. L’eau douce se raréfiant, les mers sont des sources intarissables.
L’apport de l’eau à tous, permettrait d’endiguer la faim dans le monde et de respecter l’environnement. Tout d’abord en permettant une irrigation saine des cultures partout dans le monde. En effet, dans la majorité des pays du Sud, les cultures sont irriguées par les eaux usées des villes, cela permet d’apporter des nutriments aux cultures mais cela comporte également des risques envers la population qui consomme ces aliments. Un apport d’une eau saine, permettrait en premier lieu aux pays de produire de quoi répondre à leurs besoins alimentaires et de devenir en partie autonome et dans un second temps, cela permettrait de recycler l’eau. Ce recyclage de l’eau passe par des stations d’épurations et il contribue à un respect de l’environnement. L’eau est d’ailleurs un élément essentiel du grenelle de l’environnement mis en place par la France l’année dernière. Ce respect de l’environnement ce traduit par une baisse de rejet des eaux usées dans les mers et ainsi une baisse de la pollution du cycle de l’eau. Il faut bien voir que l’enjeu majeur de l’accès à l’eau est la protection de la planète. Si nous nous plaçons dans un point de vue individualiste et égoïste, il faut apporter l’eau à tous les hommes sur la Terre pour permettre à tous de vivre dans des conditions décentes. Cependant dans l’optique actuelle de la protection de l’environnement, on se rend compte qu’au delà de la vie décente des hommes, le principal problème est qu’on ne peut pas garder toute l’eau de la planète pour l’homme, il faut conserver une eau saine pour toutes les formes de vie de la planète.
Ce discours est volontairement alarmiste. L’eau devient une ressource rare, les enjeux qui l’entourent ont évolués au fil du temps mais ils persistent comme on l’a vu précédemment. En premier lieu c’est un enjeu sanitaire, qui s’est transformé petit à petit en enjeu économique. Aujourd’hui, il faut apporter de l’eau à toujours plus de personne et il faut que les pays et les investisseurs privés respectent l’environnement. Ces acteurs ont pris conscience de ce problème comme le montre les mesures prises en concertation au G8. Les consommations d’eau toujours plus importantes provoquent des interférences de l’homme sur les paysages comme l’assèchement des lacs et des rivières, ce sont ces interférences qu’il faudrait réussir à diminuer ou à stopper.
Gino Giubergia
07:00 Publié dans Littérature | Tags : eau, ressource, secheresse, droit fondamental, guerre de l'eau, planète, nature | Lien permanent | Commentaires (17)
Commentaires
tres vrai, mais c'est la gestion de l'eau qui pose un problème, mais pas vraiment la quantité
Écrit par : rakamisy | lundi, 10 novembre 2008
Pourquoi d'après vous les chinois ne lacheront JAMAIS le Tibet ?
tout simplement à cause des millions de m3 d'eau que la chaîne tibétaine contient, c'est la plus grande réserve d'eau douce du monde avec ses glaciers et neiges.
Écrit par : guignol381 | lundi, 10 novembre 2008
Bonjour,
les hommes ne pensent qu'à eux, si l'on installe de plus en plus de stations de désalinisation de l'eau de mer on va détruire l'habitat des poissons d'eau de mer, ou en tout cas fortement le perturber. Comme c'est, dit-on, le cas avec le réchauffement atmosphérique qui perturbe les habitats des oiseaux.
Pour moi qui travaille au fond de la forêt amazonienne, je vois que toute activité humaine modifie profondément les biotopes mais rien n'est éternel et la vie reprend très vite le dessus, les espèces évoluent ou changent, ou s'éteignent mais toujours la nature reprend le dessus. Le gros souci de l'homme depuis l'apparition des religions est qu'il se croit la seule créature dont la survie soit indispensable. La terre a continué a tourner après la disparition des dinosaures et celle plus récente des mammouths.
Elle continuera à tourner, et mieux, après la chute de l'homme !
Écrit par : axel | lundi, 10 novembre 2008
Axel, je suis bien d'accord avec toi pour protéger la faune et la flore de la planête du mieux que nous le pouvons. La disparition d'espèces animales et végétales chaque jour est une véritable tragédie pour la diversité de la vie sur Terre. L'homme devenu maître et possesseur de la nature a fait beaucoup de ravages, entretenant la croyance que les ressources naturelles étaient illimitées. C'est indiscutable.
Néanmoins, avant d'être écologiste (encore que ce terme est purement scientifique, défenseur de l'environnement convient mieux) je suis avant tout humaniste. Je trouve donc ta position d'un extrémisme franchement dangereux : en allant vite, pour toi la disparition de l'être humain est préférable à celle des bébés phoques. Heureusement que tous les défenseurs de l'environnement ne sont pas comme toi et le fait que tu bosse au fin fond de la jungle ne justifie en rien tes propros malsains.
Sauvegarder la biodiversité de la Terre ne doit en aucun cas se faire au détriment de la survie des humains mais bien dans une harmonie de vie paisible et raisonnée entre tous les êtres vivants.
Écrit par : Sylvain | lundi, 10 novembre 2008
@ Sylvain.
Bonjour Sylvain,
je crois que tu as très mal compris mon message, je ne suis pas un dangereux écologiste qui bosse pour sauvegarder le gentil jaguar. La preuve je travaille dans une mine d'or, activité hautement réprouvée par tous les écolos et notre président.
Je dis que toute activité humaine a un impact sur la biodiversité mais ne la détruit pas, elle la fait évoluer.
Mes propos ne sont absolument pas malsains ou extrémistes, je considère que la terre ne peut supporter éternellement l'activité humaine, dans la grande échelle de l'histoire universelle aucune espèce n'est éternelle, l'homme pas plus qu'une autre et il est évident que l'homme fait tout ce qu'il peut pour écourter son ère.
Si l'espèce humaine fut à son apogée il y a, à mon avis quelques décennies (années 60 - 70), elle est aujourd'hui devenue trop grosse consommatrice d'énergie et de ressources et va rendre la planète stérile. Je connais peu de personnes qui vont accepter de perdre leur confort pour permettre à la planète de se régénérer. Et le nombre de prédateurs évalué à 8 milliards pour 2025 continuera à augmenter et à vider de toutes ses substances la planète. Nous savons depuis longtemps que pour créer une protéine animale il faut dépenser plusieurs protéines végétales, est-ce pour cela que nous avons remplacé notre steack par un plat de céréales, à par quelques végétariens ?
Voila mon message est : Nul n'est éternel et il y a un avenir après l'homme.
Écrit par : axel | lundi, 10 novembre 2008
Effectivement, j'ai mal compris ton premier commentaire. Mea culpa.
Quand un homme meurt la vie ne s'arrête pas pour autant, il en va de même pour toute l'humanité. Si l'homme ne l'a pas détruite, la Terre continuera de tourner avec ou sans lui.
Écrit par : Sylvain | lundi, 10 novembre 2008
En 2015, soit dans 7 ans, c'est à dire demain près de la moitié de la population -plus de 3 milliards de personnes- vivra dans des pays à problèmes d'eau -moins de 17 m3/an. Surtout en Afrique, Moyen Orient, Asie du Sud et Chine du Nord.proportion qui n'est pas soutenable (1000 tonnes d'eau sont requises pour produire une tonne de grain)
Les technologies (dessalement, cultures génétiquement modifiées pour éviter l'excès d'eau, importation d'eau) ne suffiront pas à résorber les pénuries. Et leur coût est élevé.
L'eau, jusqu'ici source de coopération entre pays, peut devenir source de conflits, surtout au Moyen Orient.
Près de la moitié de la surface terrestre consiste de bassins hydrauliques partagés par plusieurs pays. Plus de 30 nations reçoivent plus du tiers de leurs ressources d'eau à travers leur frontière.
Au faites Alex, le mercure vous l'avez remplacé par quel produit ?
Écrit par : guignol381 | mardi, 11 novembre 2008
Je cite l'UNESCO :
" ...
La compétition qui se développe autour de ressources hydriques limitées laisse craindre que de futures guerres pourraient avoir l'eau pour enjeu. Plus de 260 fleuves franchissent des frontières et leurs bassins accueillent plus de 40% de la population mondiale. Alors que l'eau a souvent été utilisée comme arme dans les conflits, la dernière guerre proprement dite menée pour les ressources en eau a eu lieu il y a 4500 ans, autour du Tigre et de l'Euphrate.
L'histoire montre cependant que le manque d'eau n'est pas seulement une source de conflit mais peut aussi inciter à la coopération. Afin d'encourager ce mouvement, l'UNESCO a joint ses forces à celles de la Croix verte internationale, organisation non gouvernementale dirigée par Mikhaïl Gorbatchev. Un projet commun vise à fournir aux décideurs, mais aussi aux spécialistes en hydrologie et à ceux qui espèrent le devenir, les compétences de négociateurs nécessaires à la prévention des conflits internationaux liés à l'eau. Selon les termes du Directeur général de l'UNESCO, l'objectif est de "faire tout notre possible pour que le XXIème siècle soit celui de la "paix de l'eau " et non celui des "guerres de l'eau " ".
Écrit par : guignol381 | mardi, 11 novembre 2008
Bonjour Guignol381, et à tous bonjour,
en fait nous n'avons pas remplacé le mercure par un produit mais par un procédé différent. Au vu de la forte densité de l'or (environ 19Kg/Litre) nous arrivons à le séparer des autres matériaux sur une table à secousses. C'est une table dans laquelle sont creusées des petites rigoles parallèles d'environ 2mm de profondeur et sur laquelle coule une grande quantité de petits jets d'eau. L'or fini piégé dans ces rigoles et est dirigé vers un orifice de sortie, tandis que les matériaux plus légers, sables, quartz, tourmaline etc sont balayés par les jets d'eau et envoyés vers d'autres orifices de sortie.
Nous travaillons aussi avec un circuit d'eau totalement fermé, si ce n'est lors des grosses pluies où les eaux de ruissellement sont évacuées par divers bassins de décantation. Ce qui signifie que nous ne rejetons aucun métaux lourd dans la nature.
Écrit par : Axel | mardi, 11 novembre 2008
Ca a l'air d'ètre une "table vibrante" comme celle que l'on utilise dans l'industrie de ... l'électronique ou des tamis vibrants de type vis sans fin des couscousseries ou des fabricants de médicaments non ??!!
L'ami Alex , peux tu nous faire parvenir des photos explicatives via "MAPAUSE" ?
Dire que vu d'Europe on considère les orpailleurs comme les pollueurs de cette sauvage Amazonie avec les bucherons amateurs d'essences rares, les paysans planteurs de coca et maintenant les millionnaires qui surfent sur la "voie verte"
et coupent des milliers d'hectares à tout va
Écrit par : guignol381 | mardi, 11 novembre 2008
C'est Axel pas Alex ! ^^
Écrit par : Sylvain | mardi, 11 novembre 2008
J'ai des photos, oui, mais comment puis-je les intégrer à Ma Pause ?
Donnez moi le mode d'emploi.
Sinon j'ai commencé un site qui parle de l'extraction de l'or primaire : http://www.wsaetcompagnie.be/orprimaire/orprimaire.html
et je peux essayer de faire passer les photos là dessus, mais mes transferts ftp sont difficiles car j'ai internet via satellite et ça coupe souvent.
de ce site là vous pouvez retomber sur celui de l'endroit où j'habite au Brésil, www.maranhao.fr.
Donnez moi vos avis, je fais cela en dilettante la plus totale.
Merci
Écrit par : axel | mercredi, 12 novembre 2008
Alors là je n'en reviens pas, j'en apprends autant grâce à l'article que par les commentaires...
le pb de l'eau est effectif, et je crois qu'on assistera à une guerre de l'eau... après la guerre du feu, la guerre de l'eau pas mal non ?
Sinon vous m'avez fait pensé à quelque chose d'autre, ce que serait la Terre sans humanité, je crois que j'ai parlé de ça avec Sylvain, ca semble interessant
Écrit par : Didier | mercredi, 12 novembre 2008
Magnifique ton blog, je ne savais même pas ques les froggys étaient allés découvrir aussi le Brésil, à l'époque à laquelle on s'aventurait aussi au Canada.
Les alluvions (?) du parc des Lençois sont surprenants, Yann Arthus Bertrand a raté une prise de vue là-bas.
Par contre ta boucherie, hummmm comment dirais-je ? ça me refroidit un peu, :=) surtout les traces noires de sang sur les murs, ils achèvent les animaux en les fracassant contre ? ou alors ils attendrissent la viande ainsi ?
Par contre grace à toi j'ai la preuve que Saddam Hussein est toujours en vie, il est boucher/découpeur au Brésil, il a juste laissé le p'tit doigt en Irak :=)
Concernant l'or je n'ai pas compris comment tu fonctionnes.
Tu écrases avec les marteaux le minerai et ensuite tu le mets sur cette trémie qui est "Karchérisée" pour récupérer l'or ?
tous les micro déchets d'or , soit moins de 2.5 mm de diamètre s'en vont alors ?
je me souviens des images d'orpailleur où les paillettes d'or, ( que l'on trouve aussi dans nos campagnes dans nos rivières faiblement mais quand même aurifères ), tournoyaient dans la battée et que le soleil faisait briller!
je mets un lien qui décrit cet acte :
http://www.goldgold.com/panninginstructions.htm
Donc t'es pas un bateyeur, ni orpailleur mais plutot un extracteur non ? dit-on comme cela ?
@ plus et merci pour les infos
Écrit par : guignol381 | mercredi, 12 novembre 2008
Bonjour,
en fait le site sur l'or primaire est encore incomplet mais je n'ai guère l'occasion d'y bosser en ce moment.
Nous travaillons l'or primaire, c'est à dire celui qui est retenu dans les filons dans les collines et non l'or alluvionnaire qui court libre dans le lit des rivières et dans les sables environnants.
Nous mettons le minerai dans la trémie, là il est transformé en boue et tombe dans le broyeur à marteau, du broyeur à marteau il va ressortir en pulpe grossière d'environ 2.5 mm de granulométrie. Cette pulpe va être passée dans une centrifugeuse ce qui va permettre d'éliminer plus de 99% des déchets, sables, argiles et autres, de cette centrifugeuse ce que l'on appelle le concentré va être repris et passé sur la table à secousse d'où l'on va encore éliminer une grosse partie des impuretés restantes. Alors ce "super concentré" contiendra environ 95%d'or en poudre et paillettes. Il va être mis dans un creuset avec divers produits chimiques dont du borax et il sera fondu, le reste des impureté va remonter à la surface et être piégé dans le borax.
de là va sortir un lingot qui fera environ 98% d'or pur. Ce lingot sera alors envoyé à un affineur qui lui aura la charge d'en extraire les autres métaux, tel le cuivre ou l'argent pour en faire un lingot d'or pur à 99.99%
Il faut aussi savoir que sur 1 tonne de caillasse traitée on extrait en moyenne 1.7gr d'or, dans le gisement où je travaille, et on rejette encore 3.5 gr qui ne pourront être
traité que chimiquement. Comme la lixiviation par cyanure est trop réglementée et dangereuse nous sommes à la recherche d'un procédé de lixiviation avec uniquement des produits non polluant, mais cela prend du temps !
Comme on s'éloigne un peu du sujet de l'eau, à voir avec les créateurs du blog, je pourrais essayer de pondre un article pertinent sur l'histoire de l'or en Guyane, mais pas dans l'immédiat je suis sur le budget de fonctionnement de 2009 et c'est prenant !
Écrit par : Axel | mercredi, 12 novembre 2008
Bienvenue Axel, il n'y a aucun problème pour que tu rédiges un petit article sur ça, il apparait clairement que ça pourrait interesser beaucoup de gens !
Écrit par : Didier | mercredi, 12 novembre 2008
Un lien bien utile à mon avis pour prolonger la discussion sur l'or (et en s'écartant de l'eau effectivement) : http://passouline.blog.lemonde.fr/2008/11/11/au-coeur-dactuelles-tenebres/
Écrit par : Sylvain | mercredi, 12 novembre 2008
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