Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 26 avril 2009

« Jazz my Bicyle » par Jezz at Home ! Qu’en pensez-vous ?

Vous devez probablement vous souvenir d’une très bonne playlist que nous vous avions proposé il y a 2 mois sur Mapausecafé ! Celle-ci avait été réalisée par le Rhubarb Crew. Cette fois, les membres du groupe trempent un peu plus les mains dans le cambouis !
De leur nouveau nom « Jezz at home », Laurent et Tom vous proposent du son original qui, j’en suis sûr, ne vous laisseras pas indifférents.
Pour cette première mouture, Jezz at Home ne manque pas de talent ! Aux diverses influences électro-jazz-funk, j’avoue que la synthèse est plutôt bien trouvée ! + 1 pour l’orgue aussi !
Et vous, qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à donner votre avis ! Je suis sûr que Jezz at home devrait faire un petit tour su Mapausecafé d’ici peu !
Assez blablaté, écoutez…

 

22:41 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

mercredi, 25 mars 2009

St Germain Tourist

St._Germain_Tourist-[Front]-[www.FreeCovers.net].jpgLudovic de Navarre aka St Germain, débute sa carrière au coté de Shazz. Il signe son premier album sur le label F Com de Laurent Garnier. Son disque oscille entre un son house et jazz. Le talentueux jeune français (ça fait du bien !) signe ensuite son second album, Tourist, sur le très prestigieux label de jazz Blue Note. Ce dernier a notamment signé des artistes comme John Coltrane, Herbie Hancock, ou encore Miles Davis… Rien que ça. 
La musique de St Germain est reconnaissable au premier coup d’oreille, tant ce dernier est parvenu à mélanger les styles pour en constituer un à part entière. L’album suit un fil conducteur général, le jazz. Toutefois, ce dernier est décliné à toutes les sauces. On y découvre ainsi des titres orientés deep house, mais aussi dub. Ici, l’analogique et l’organique se conjuguent à merveille. Les pianos, flûtes, cuivres et voix font échos aux rythmiques analogiques.
L’album est constitué de neuf titres qui méritent tous une attention particulière. Le morceau Rose Rouge ouvre le bal et annonce tout de suite la couleur. Le titre suivant est plus déconcertant, Montego Bay Spleen joue sur un côté dub et downtempo qui pourrait en perturber plus d’un. Mais qui satisfera tout le monde après une dure journée de travail où pendant une dure journée de repos. La suite est juste jouissive… So Flute est le genre de morceaux capable de vous mettre en sueur dès 10 heures du matin. Le reste est un festival d’euphorie musicale. Je ne vous en dis pas plus. La découverte par soi-même est beaucoup plus existante que de simples mots. Ces derniers sont d’ailleurs incapables de décrire cet album. 
Je vous le dis et répète : écoutez Tourist ! Ce sera certainement une des choses les plus bénéfique de votre journée.

Bonne écoute.

 

 

A mon grand regret, les clips de Sure Thing et So Flute ne présente pas les morceaux dans leur totalité. Non mais vous vous rendez compte ?!? Un morceau qui dure 8 minutes ?!? Les chaînes de télévision peuvent mettre deux morceaux au lieu d’un… Le choix est pour eux vite fais. Il vaut mieux présenter deux bouses aux téléspectateurs. L’opération sera bien plus rentable. Et puis, il faut dire qu’en France on aime bien écouter de la daube.

 

Laurent

lundi, 16 février 2009

Chronique d'artiste : Carl Craig

carl-craig.jpegDepuis maintenant plus de 15 ans, Carl Craig fait partie du paysage musical. Il est issu de la deuxième vague techno de Detroit, au coté de Jeff Mills et Underground Resistance. Il est aujourd’hui considéré comme l’un des maîtres de la techno de Detroit et de la techno tout court. J’entends déjà les mauvaises langues : « mais la techno ce n’est pas de la musique, ce n’est que du presse-bouton, bref une arnaque quoi… ». À toutes les personnes qui tiennent ce genre de discours, je n’ai qu’une chose à dire : écoutez Carl Craig. Ce n’est qu’ensuite que l’on pourra discuter !

Au fil des années, l’homme de Detroit a délivré des productions et des remixes à tours de bras. Le mix qu’il a livré pour le célèbre label Fabric est tout simplement un des meilleurs de la série, et ce n’est pas une mince affaire vu les prestigieux noms qui s’y sont frottés. Les titres qu’il produits sont évidemment teintés d’électronique, mais évoluent dans tous les styles. Ses morceaux sont capables de retournés n’importe quel dancefloor, sans pour autant sombrer dans la facilité comme c’est si souvent le cas (Discopute, Ladygaga, David Vendetta et malheureusement bien d’autres encore…).

La musique de Mr. Craig peut aussi bien s’écouté confortablement installé sur le canapé ou les bras en l’air sur le dancefloor. Seulement, Carl Craig ne s’arrête pas là. Les albums qu’il a sorti sont juste de petites perles de poésie, d’avant-gardisme et de beauté.

Il ne cesse de créer de nouveau projets. Il a ainsi mis sur pied un groupe jazz nommé Innerzone Orchestra dans un style plutôt expérimental. Mais aussi, The Detroit Experiment avec notamment Amp Fiddler pour un style jazz plus classique-moderne qui plaira à tout fan de jazz pourvu qu’il soir un peu ouvert d’esprit.

Son dernier album en date, Re-composed n’est autre qu’une reprise à sa propre sauce du fameux Boléro de Ravel et c’est signé sur Deutsche Grammophon, un label de musique classique. Pour réaliser ce projet, il est accompagné Moritz von Oswald, le patron allemand du dub-techno. Sur scène il est accompagné de Francesco Tristano, un pianiste de formation classique, et d’un orchestre symphonique. L’ensemble est fabuleux Je vous laisse juger grâce à la vidéo qui en déroutera plus d’un.

 


 

Toutefois, si je vous parle aujourd’hui de Carl Craig, ce n’est pas pour le projet que je viens de cité, mais parce que ce dernier va se produire a Lyon le 14 mars dans le cadre du festival A Vaulx Jazz. Pour la 22° édition du festival, Corey Harris (musicien blues), sa « bande », Carl Craig et deux autres musiciens seront sur scène pour présenter un album métisse qui vient tout juste d’être enregistré à Detroit. Prenez vos places à l’avance, la soirée promet d’être magique. Au moins, vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous a pas prévenu !

 

 

Laurent

lundi, 02 février 2009

Kruder & Dorfmeister / The K&D Sessions

kruder et dorfmeister.jpgChronique du Culte

 

Pour tous ceux qui ne connaissent pas (encore par cœur) The K& D Sessions, dites-vous bien que vous êtes de véritables veinards ! Sorti en 1998, ce double « album » de remixes est désormais un incontournable. À l’origine du projet, deux viennois : Peter Kruder et Richard Dorfmeister, principalement connus pour leur remixes de hauts vols.

 

Tous deux commencent leurs carrières respectives en 1990 en tant que dj avant de former leur duo en 1993. Toutefois, depuis plusieurs années et aux grands désespoirs des fans, les deux compères ne sévissent plus ensemble, mais continuent de faire vivre leur label G-Stone. Leurs meilleurs remixes sont ici regroupés. Pop, drum & bass et hip-hop sont retravaillés sans concession. Heroes de Roni Size (maître de la drum & bass) est pris à contre pied… Je vous laisse juger par vous-même grâce à la vidéo ci-dessous. Même Depeche Mode, d’ordinaire insupportable, est repris avec brio, c’est dire ! Malgré des morceaux aux origines bien diverses, l’ensemble est tout à fait cohérent et oscille entre un style downtempo, un dub que l’on pourrait qualifier de vaporeux et une drum & bass jazzy et envoûtante. Going Under (main version et evil love and insanity dub version), Bug the Power, Rollin on Chrome, Where Shall I Turn ? sont dantesques.

 

Veuillez attacher vos ceintures, car dès le premier morceau le vol pour Vienne décolle sans jamais atterrir. L’idéale est d’écouter Sessions bien installée sur son canapé, une tasse de chocolat chaud et un bon feu de bois à ses pieds. Ceux qui écouteront comprendront.

 

Vous êtes à bout ? Vous ne contrôlez plus vos nerfs ? Kruder & Dorfmeister ont la solution. Préférez The K& D Sessions aux antidépresseurs. À consommer sans modération et à ne déconseiller à personne.

 

samedi, 17 janvier 2009

Le top musical 2008 vu par Mapausecafé !

Chronique du culte, suite...

 

Après s’être copieusement empiffrer de nourriture grasse mais savoureuse, il est temps de faire une pause et de laisser reposer nos pauvres estomacs, pour emplir de bonheur nos oreilles !

Bien sur, vous avez été envahi pendant près d’un mois de spot publicitaire vous incitant à acheter, racheter et offrir encore et encore des best of en tout genre ou des albums que l’on connaît par cœur sans même les avoir acheter. Matraquage médiatique quand tu nous tiens !

Vous allez me dire pourquoi faire un top de 2008, alors qu’il suffit de regarder les meilleures ventes de l’année ? Et bien il est parfois, et même souvent bon, de découvrir des artistes qui ne tentent pas à tout prix d’entrer dans la spirale infernale des titres formatés pour la radio qu’imposent depuis longtemps les majors.  
Le top ci-dessous n’en est pas vraiment un. Il est bien évidemment subjectif et non-exhaustif. Il ne comporte aucun ordre, aucune catégorie. Albums, compilations et mixes sont ici présents. De même que se côtoie musique jazz, afro beat, électro, expérimentale… Bref, un joli melting-pot. De toute manière, la musique ne peut s’apprécier que dans la différence de ses styles.

 

Dans la suite de l'article, le top des albums de 2008, signé par Seigneur Laurent, instinct musical de Mapausecafé !

Lire la suite

14:35 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2)

mardi, 02 décembre 2008

Amp Fiddler, Sly & Robbie : Inspiration, Information

amp-fiddler.jpg

Au hasard d’une ballade chez le disquaire du coin, je tombe sur ce disque. Amp Fiddler m’étais connus pour ses collaborations avec le maître de la house de Detroit, Moodymann. L’album d’A.F. Afro Strut avait déjà apporté son lot de soul funky et les fans étaient en attente d’un nouveau disque. Sly & Robbie sont deux producteurs atypiques du reggae jamaïcain, ils ont notamment produis le fameux Aux armes et caetera de Serge Gainsbourg, mais ont aussi collaboré avec Bob Dylan, Grace Jones (qui revient sur le devant de la scène et s’est tant mieux) ou encore Tricky. C’est donc à leurs côtés que le soul man de Détroit revient et frappe un grand coup. Cet album est une petite perle de soul, signée sur le encore jeune label Strut, filière de !K7 Records principalement connut pour produire des artistes aux sonorités électroniques tels que Matthew Herbert ou Swayzak.
Sly (basse) et Robbie (percussion) entraînent A.F. vers des horizons soul et reggae. On retrouve la voix si apaisante d’A.F. ainsi que ses nombreux arrangements électroniques si caractéristiques. 
L’album débute fort avec Crazy Day, un titre dans la lignée de ses précédentes productions. La suite est surprenante. Les trois comparses nous offrent des morceaux tous plus soul les uns que les autres. C’est par exemple le cas d’I feel on the wagon, Blackhouse (Paint the house in black) ou encore I Believe in You (reprise d’un morceau d’Amp Fiddler). Chose peu habituelle pour A.F., le reggae s’invite aussi par trois fois, et pas des moindres, avec les titres U, Lonely et This World. Serious et Vibrationship sont moins classiques et plus déroutants. Au final, l’album navigue entre différents styles qui semblent ici très proches. Les trois musiciens ont, pourrait-on dire, trouvé des «passerelles» qui leur permettent de passer naturellement d’un genre à l’autre.
Bref, un album soul aux accents reggae qui devrait retenir toute votre attention.

 

Cliquez ici pour accéder à leur site officiel

 

Laurent

jeudi, 13 novembre 2008

The Cinematic Orchestra / Motion

cinematic-orchestra.jpg

Chronique du culte

Après notre petite ballade hip-hop, nous allons nous diriger vers des horizons plus paisibles, à la croisée du jazz et du trip hop. Et cette fois ci, ce sont des Anglais qui nous invitent au voyage.
L’histoire est belle. Durant plusieurs années, l’initiateur du groupe, Jason Swinscoe, est le secrétaire des Coldcut, pour leur impressionnant label, Ninja Tune. La démo de The Cinematic Orchestra tombe alors logiquement entre les mains des maîtres ninjas. Le disque ne tarde pas à sortir et c’est alors la plus importante vente du label. Aujourd’hui encore le groupe reste un des meilleurs représentant du label Anglais.
Sur ce disque, et aux vu des instruments, The Cinematic Orchestra pourrait être vu comme un simple groupe de Jazz. Pourtant, les musiciens diffusent une musique dont ce seul qualificatif serait bien réducteur. Les instruments jouent à s’emmêler et à se démêler pour donner un résultat très harmonique. A cet ensemble acoustique vient se greffer de nombreux éléments électroniques qui s’intègrent parfaitement et contribues à cette ambiance si particulière. Les 8 titres qui composent cet album sont empreints d’une touche chaleureuse et originale, le tout saupoudré de la fameuse patte Ninja Tune. Il en ressort un disque qui s’amuse de la frontière avec le cinéma, sans pour autant tomber dans l’exercice si périlleux de la B.O.. Chaque écoute est un véritable dépaysement que l’on découvre et redécouvre sans cesse. Le titre Durian est en même temps apaisé et tendu. Le titre Channel 1 Suite nous délecte d’une savoureuse mélodie qui rappelle le trio mythique Portishead. Tandis que Durian débute doucement pour s’envoler lentement mais sûrement. 
Le disque est idéal pour une écoute de salon, dans le calme, seul ou avec des amis. En ces périodes moroses (est-ce le temps ou la crise? Qu’importe), il est le compagnon idéal pour vous réchauffer.

Cliquez sur le player ci-dessous pour écouter Durian de l'album Motion.


podcast

Rendez-vous sur le site de The Cinematic Orchestra

 

Et une dernière vidéo pour vous faire une idée plus précise...

 

 

Laurent

vendredi, 07 novembre 2008

La Phaze va vous déphazer la tête

la-phaze.jpg

Permettez-moi de vous faire découvrir un de mes groupes français préférés : le bien nommé La Phaze (avec un z s’il vous plait). Enfin… « découvrir » est un grand mot car beaucoup connaissent certainement ces braves gaillards adeptes du pungle : un savoureux néologisme de leur cru signifiant le mélange de punk et de jungle.

 

Pour les malheureux ne connaissant pas La Phaze, voici une p’tite bio descriptive : 
C’est du coté du Grand Ouest que naît à la fin des années 1990 ce groupe, à la base un trio composé de Damny (chant et clavier), Arnaud (guitare) et DJ Nevrax. Les compositions empruntent volontiers aux rythmes électro, à l’énergie punk et à une sorte d’environnement musical mécanique ou industriel. La Phaze acquiert, peu à peu, scène après scène, une solide réputation acquise à grands coups de concerts bouillants comme la braise de leurs refrains qui dénoncent certaines dérives de nos sociétés.

 

Un premier tournant marque l’arrivée d’un batteur, Guillaume Aka Rouzman en lieu et place du DJ Nevrax. Forcément ce remplacement remet en cause la nature même du groupe qui délaisse de fait les contrées électro pour lorgner vers une tradition plus « Rock n’ roll ». Dans le même temps, la Phaze entame une tournée gigantesque, le « No Bullshit Tour » (30 concerts sur 40 jours et 16 pays Européens) dans le sillage des Gogol Bordello, une formation américaine réputée pour ses délires scéniques et son énergie peu commune.

 

Leur 4ème album, « Le Miracle », résume la nouvelle orientation du groupe et multiplie, de par l’excellence de sa production et l’efficacité des compositions, une audience encore plus large. Fin 2004, Manu Chao convie même le groupe sur sa tournée Française.
Le « vrai » miracle se produit alors chaque soir sur scène où le trio fait preuve d’une énergie rare et d’une complicité qui n’était pas forcément gagnée. Il faut bien avouer que leur dernière production figure, sans mal, dans le top ten des productions 2007. (L'album « Fin de cycle » sorti en 2005 se vendit à plus de 20 000 copies).

 

Dans la suite de l'article, de l'image et du son...

Lire la suite

dimanche, 05 octobre 2008

The Root - Organix

Chronique du Culte
Aujourd’hui, lancement d’une chronique musicale sur Ma pause café. Cette chronique reviendra régulièrement et vous proposera de découvrir les albums qui ont marqué l’Histoire de la musique, en toute subjectivité bien sur.

 

The Roots / Organix

1993 sort l’album des désormais reconnus américains, The Roots. Pourtant, c’est plus de dix ans plus tard que ce disque atterrit entre mes mains. Et quel disque! À première vue, les 17 titres qui composent cet album n’avaient aucune chance de me toucher. Le hip-hop ? Très peu pour moi.

Dans mon esprit, ce style se résumait aux diverses «conneries» que l’on entendait à la radio telle que Akkon, Usher, 50 Cent, NTM (dont le retour sur le devant de la scène est très certainement motivé par la passion de la musique bien sûr) et autres rappeurs aux belles femmes-bikini-fric-voitures. Avec cet album, les Roots nous montrent ce que l’on peut faire dans le monde du hip-hop. Le groupe délivre tout au long du disque un son minimal et organique. Le flow tranchant des différents mc’s est modestement accompagné d’une batterie, d’une basse et de quelques claviers. C’est cette simplicité qui fait la force de l’album. Ce coté minimaliste peut effrayer, pourtant à aucun moment on ne s’ennuie à l’écoute de ce disque.

the-roots.jpg

Dès les premiers morceaux le ton est donné et l’on découvre tout au long des 60 minutes une succession de titres groovy au possible comme Good music, I’m out deah, Common Dust ou encore Popcorn revisited. Puis le morceau Essawhamah? enregistré en live at the Soulshack (Slovénie) démontre à quel point le hip-hop peut faire des merveilles. Enfin arrive l’élément principal de l’album, le titre The Sessions. Durant près de treize minutes The Roots donne une leçon de hip-hop devant laquelle on ne peut que saluer la prestation. Son entêtant refrain résonnera dans vos oreilles jusqu'à ce que vous soyez obligé de repasser le disque. Mais je vous rassure, cette obligation vous remplira de bonheur.

Organix fait partie de ces albums qui, 15 ans après n’ont pas pris une seule ride et que l’on écoute en boucle du début à la fin sans jamais s’en lasser. A découvrir absolument quels que soient vos goûts musicaux.


Ci-dessous, le clip du titre Pass the popcorn. Attention la vidéo est d’époque et cela se voit…

Laurent

21:17 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2)

vendredi, 12 septembre 2008

Le Sziget Festival Budapest, j’y étais !

1838193798.jpgLe Sziget Festival dure une semaine, du 11 au 18 août. Il se situe sur l’île de Sziget en plein cœur de la capitale Hongroise. De très nombreux concerts étaient programmés chaque jour sur une large plage horaire débutant à 15 heures et se terminant à 23 heures.



Les Têtes d’Affiches
L’île proposait 5 scènes principales agrémentées de différents stands publicitaires. Ceux-ci proposaient des « bars musicaux » distillant de la musique jusqu’au petit matin. Le festival affichait d’énormes têtes d’affiches comme Iron Maiden, Sex Pistols ou encore Jamiroquai. Ces trois dernier artistes ont rameuté, vous vous en doutez, un nombre de personnes considérables. 
Ainsi, Iron Maiden montre une scène spectaculaire avec jet de flammes et animations ; peut-être pour rendre leur concert moins monotone. Qaunt aux Sex Pistols, ils font peine à voir et ne méritent pas de commentaire plus complet. Bien que nous soyons évidemment passés voir ces trois grands concerts nous ne nous y sommes pas attardés. Il faut dire que le festival regorgeait d’artistes à voir absolument et qui, contrairement aux artistes les plus populaires, n’ont pas déçu.

 

Dans la suite de l'article :

  • Les Perles du Sziget Festival Budapest
  • La scène Jazz
  • La scène World

Lire la suite