dimanche, 25 janvier 2009
L’esprit de Central City
Dans la ville de Central City, celui que l'on appelle le Spirit (Gabriel Macht) fait sa loi : ancien flic mort lors d'une enquête, il est sorti de la tombe pour régler ses comptes et chasser la vermine qui grouille dans les rues ! Mais bientôt le justicier masqué se voit confronté à différentes femmes fatales, créatures de rêves qui l'aideront ou s'opposeront à lui dans sa lutte contre le terrible Octopus (Samuel L. Jackson)...
Après avoir coréalisé le sublime Sin City en 2005 avec Robert Rodriguez, avoir vu son Batman adapté sur grand écran avec l’éblouissant Dark Night, et après avoir été consultant de Zack Snyder lors du tournage de 300, Franck Miller, pour sa première réalisation, nous livre une libre adaptation du classique de la bande dessinée née sous la plume de Will Eisner (un de ses maîtres et ami) : The Spirit. Un film fou mais qui semble manquer de rigueur cinématographique. La bande originale est portée par une composition musicale exceptionnelle et variée de David Newman.
Dans la suite de l'article, la bande annonce et la critique du film.
02:11 Publié dans Cinéma | Tags : the spirit, critique, frank miller, will eisner, l'esprit de central city, sylvain métafiot, sin city, comic, film, cinéma, cravate rouge, humour, ultra sensuel, souffle, samuel l jackson, délirant | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 30 novembre 2008
A Rock’n’roll movie, baby !
Le titre est plus qu’explicite : le film concerné n’est autre que Rockn’rolla, le dernier film de Guy Ritchie. Rappel des faits, ce petit prodige est le réalisateur du génialissime Arnaques, crimes et botanique et du Tarantinesque (ou Tarantinien, à chacun son néologisme) Snatch. Il compte également de belles daubes dans son tableau de chasse, dont le remake d'une comédie italienne des années 70 qui porte bien son nom (A la dérive) et Revolver, intéressant sur le papier, avec de bonnes séquences de guns-fights mais totalement démesurés dans sa trame au point que le film échappe au réalisateur de façon pitoyable. Mais revenons à notre sujet : le bien nommé Rockn’rolla.
Synopsis : Caïd londonien, Lenny (Tom Wilkinson ) travaille à l'ancienne. Ce qui ne l'empêche pas de savoir à qui graisser la patte et de pouvoir faire pression sur n'importe quel ministre, promoteur immobilier ou malfrat en vue. D'un simple coup de fil, Lenny est capable de soulever des montagnes. Mais comme le lui dit Archy (Mark Strong), son fidèle lieutenant, Londres est en train de changer : les mafieux des pays de l'Est, comme les petits voyous, cherchent tous à bouleverser les règles du milieu : Uri Omovich (Karel Roden, le Raspoutine du premier Hellboy), milliardaire russe veut conquérir la capitale. Désormais, c'est toute la pègre londonienne, des gros bonnets aux petits poissons, qui tente de se remplir les poches en se disputant le coup du siècle. De leur coté, Cookie (Matt King ), One Two (Gerard Butler, le roi Leonidas de 300), Mumbles (Idris Elba) et Handsome Bob (Tom Hardy) sont des petits truands qui se font appeler « La horde sauvage », ils pensent se recycler également dans le secteur de l'immobilier et abandonner les petits trafics minables. Tous ces individus louches vont voir leurs destins basculer à cause d'un seul homme, le rockeur toxicomane Johnny Quid (Toby Kebbell ) qui tombe raide dingue d'un simple tableau, le seul problème étant que ce tableau appartient à Uri Omovich...
Cliquez ici pour lire la suite de l'article : la bande annonce et ce qu'on en a pensé !
07:00 Publié dans Cinéma | Tags : rocknrolla, guy ritchie, gerard butler, tom wilkinson, mark strong, délirant, énorme, sylvain métafiot, film, cinéma, critique, voix off, the subways, cali, hellboy, 300, tom hardy | Lien permanent | Commentaires (1)